S’arc-bouter
C’est remarquable cette propension des organismes à trouver des façons de s’adapter à l’environnement. Par exemple, la végétation se doit en effet d’être très forte pour se développer et croître sur un territoire septentrional exposé aux vents puissants. En Gaspésie, sur le côté nord de la péninsule, on voit souvent des arbres et arbustes plus ou moins rabougris qui se dressent le long du littoral du Golfe Saint-Laurent. Des conifères avant tout, évidemment, se font modeler jour après jour en résistant aux vents dominants.
Par les temps venteux qui courent, c’est maintenant au tour des humains de montrer jusqu’où ils ont la capacité de résister aux éléments défavorables tel ce foutu virus sorti de nulle part. L’été et les vents du suroît reviendront…