«Don’t talk rubbish»
Londres, métropole mondiale et capitale du royaume Britannique, est une ville aux attraits incroyables. J’ai eu le bonheur d’y vivre un mois entier en 1986.
J’y allais avant tout pour perfectionner mes habiletés de la langue anglaise. À l’époque le collège de Maisonneuve offrait des séjours d’immersion linguistique à coûts très raisonnables. Il en offre toujours d’ailleurs (accéder à leur site); chacun pourra apprécier les tarifs actuels. Nul besoin de préciser que j’ai énormément apprécié ces quelques semaines d’immersion ou les matinées étaient consacrées à quelques heures de cours avec des professeurs très sympathiques alors que des activités de visites et de découvertes de la réalité Londonienne étaient proposées en après-midi. Le logement en familles facilitait encore davantage l’apprentissage. De plus, deux repas par jour dans la famille étaient inclus dans le forfait de Maisonneuve. Mes nombreux souvenirs lointains de ce voyage mémorable passent bien sûr par des classiques comme le Tower Bridge, la River Thame, Big Ben, The City, les British et Victoria and Albert museums, Madame Tussaud, l’Underground, Piccadilly Circus, les parapluies, les Bobbies, les taxis et combien d’autres attractions magiques. Toutefois, j’ai un souvenir particulièrement vivace des tous ces nombreux et magnifiques parcs et jardins que j’ai visité et revisité.
Mon anglais? Golly gosh! Of course I did progress. A lot isn’t it? J’ai fait un bon en avant, mais ce n’était que l’amorce d’un apprentissage que j’ai poursuivi par la suite. Je ne suis toutefois jamais parvenu à maitriser l’accent «posh», le soi-disant véritable langage de l’élite anglo-saxonne.